Performance et respect de l’environnement : le dilemme des amateurs de voitures !

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Une chèvre entièrement naturelle… qui n’essaiera pas de manger votre linge. Much.

Non non, c’est bon, nous sommes toujours un blog sur les voitures. Soyez indulgent avec nous. Une fois de plus, l’incomparable Jo Schmo nous a aiguillé vers un article sur Wired qui touche particulièrement nos cœurs d’automobilistes. Bien qu’une grande partie du « pétrole étranger » dont ils se plaignent provienne de quelques kilomètres de mon emplacement actuel, c’est un bon point. On croit souvent, à tort, que les « amateurs de voitures » ne s’intéressent qu’à une seule chose : la performance. On suppose que nous recherchons toutes les options qui nous permettront d’obtenir une voiture plus rapide, dans une mentalité de « au diable les torpilles, à fond la caisse » (et pour découvrir la RSQ3 c’est par ici ) ». L’environnement ? Qui s’en soucie ? Le réchauffement de la planète ? Très bien, cela signifie simplement que j’aurai plus de temps pour sortir ma voiture d’été de l’abri d’hiver. 

En tant que porte-parole autoproclamés des automobilistes, nous ne sommes pas du même avis. Ce n’est pas vraiment que nous nous en fichons, c’est que nous avons une tolérance plus faible pour les compromis. Par exemple, en tant qu’amateurs de voitures, nous n’aimons pas les performances médiocres et l’absence de plaisir de conduite qui font partie intégrante du contrat lorsque vous vous glissez derrière le volant de la plupart des voitures économiques actuelles. Nous souhaitons simplement trouver un moyen de continuer à profiter de notre voiture tout en respectant l’environnement. C’est peut-être la raison pour laquelle de nombreux automobilistes préfèrent la technologie du diesel propre à celle de l’hybride. Ces deux passionnés de voitures vont encore plus loin. En partant d’une GTO 66 équipée d’un 455 (gonflé à 469cid), ils disposent déjà d’une voiture performante. Puis, pour ménager l’environnement, ils dépensent des milliers de dollars pour faire passer la voiture de l’essence ordinaire au gaz naturel comprimé (GNC). Le GNC présente un certain nombre d’avantages. Il produit moins d’émissions de monoxyde de carbone à l’échappement et brûle plus complètement que l’essence, ce qui permet une utilisation plus efficace du carburant. La contrepartie, comme l’ont découvert ces deux hommes, est une baisse des performances, car le GNC n’a pas la même capacité énergétique que l’essence ou le diesel. Avec une réduction de puissance estimée à 20 %, cette conversion ne sera pas idéale pour tout le monde. Cependant, le GNC est disponible aux États-Unis et d’énormes réserves sont disponibles au Canada, d’où provient une grande partie de votre jus de dinosaure actuel. 

Cependant, ne vous contentez pas de me croire sur parole. Allez lire l’article. Comme ils le disent dans l’article de Wired : ce n’est peut-être pas la réponse, mais c’est une réponse, et nous les saluons pour cela.